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15.06.2017
fotofever paris présente FOTO DOC' COLLECTION à Arles du 3 juillet au 24 septembre
Avec Foto Doc’ Collection, fotofever s’installe pour la première fois à Arles au moment du festival international de photographie Les Rencontres d’Arles et propose une exposition inédite, en collaboration avec 10 galeries partenaires.
Les galeries rassemblées par fotofever ont pris la pleine mesure artistique du travail de ces artistes photographes, adeptes de sujets longs et approfondis, forts d’une écriture visuelle originale.
Foto Doc’ Collection permet de valoriser le documentaire comme photographie de collection : en ne présentant que des oeuvres originales (éditées à moins de 30 exemplaires tous formats confondus), toutes disponibles à la vente, de 10 jeunes artistes internationaux représentés par une galerie.
L’exposition Foto Doc’ Collection se tiendra du 3 juillet au 24 septembre 2017, dans un très bel hôtel particulier du XVII siècle, en plein coeur historique d’Arles, propriété de la Fondation Manuel Rivera-Ortiz.
Créée en 2009 par Manuel Rivera-Ortiz, photographe d’origine portoricaine, la fondation est dédiée à la photographie et au film documentaires. Elle soutient les photoreporters et photojournalistes qui témoignent des réalités sociales des pays émergents et en développement.
Foto Doc’ Collection est une nouvelle occasion pour fotofever de poursuivre son programme d’initiation à la collection, avec :
• une sélection d’oeuvres à moins de 5 000 euros et tous les prix affichés
• que des oeuvres originales (limitées à moins de 30 exemplaires et authentifiées par l’artiste)
• un guide de l’exposition avec des conseils pour démarrer sa collection
• des visites commentées gratuites de l’exposition, programmées tous les jours
• un médiateur présent durant les 3 mois de l’exposition pour accompagner le public à la rencontre des oeuvres.
Cécile Schall, fondatrice de fotofever et à l’initiative de l’exposition, conforte son engagement dans l’initiation à la photographie de collection : « Loin du format de la foire, nous avons souhaité créer un vrai dialogue entre les artistes présentés, d’origines culturelles et sociales différentes et portant chacun leur propre vision sur notre société contemporaine. »