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BIENALSUR 2025 est en France avec huit événements à Paris, Toulouse, Bordeaux et Corte, et dans le monde dans 78 villes et 34 pays

En France, la biennale se déploiera d’octobre à décembre 2025, avec huit événements conçus en lien avec les contextes locaux et leurs partenaires. Ces projets prendront place dans quatre villes : Paris, Toulouse, Bordeaux et Corte :
Le Centre Pompidou & l’INHA à Paris présenteront les archives de Narcisa Hirsch, figure de l’avant-garde latino-américaine.
Le Mk2 Bibliothèque de Paris proposera des échanges artistiques entre les participants de la biennale et le Centre Pompidou, favorisant le dialogue entre les artistes et le public.
La Maison de l’Amérique Latine à Paris exposera un cycle de vidéo-art latino-américain.
Le CENTQUATRE de Paris rejoindra également la programmation avec des projets à venir.
L’Université Jean Jaurès de Toulouse explorera, à travers le projet "Le silence des lucioles", la lumière satellitaire comme un moyen de révéler les réalités géopolitiques, avec une exposition et un colloque.
Les Abattoirs de Toulouse participeront à cette cartographie artistique avec une exposition à venir.
La Maison de Goya à Bordeaux présentera l’exposition "Migrations de sens" réunira Shuai Liu (Chine) et Leticia El Halli Obeid (Argentine), traitant des thématiques du langage, de la mémoire et des traductions culturelles.
Le FRAC Corsica à Corte continuera le projet "Résidences croisées" et accueillera les artistes Nicolás Quiriconi (Corse) et Julieta Tarraubella (Argentine), dans un programme de collaboration artistique.
Depuis dix ans, BIENALSUR réinvente le modèle de la biennale d’art contemporain. Première biennale véritablement transnationale au monde, BIENALSUR 2025 valorise lors de cette 5e édition les œuvres de plus de 400 artistes, dans 78 villes et 34 pays. Fidèle à ses engagements en faveur d’un humanisme contemporain, BIENALSUR ne demande pas au public de venir à elle : elle va à sa rencontre.
Son programme 2025 est issu d’un appel à candidatures international qui a réuni plus de 5 000 retours et propositions d’artistes. Ce processus participatif permet à la biennale de refléter les préoccupations et aspirations artistiques, sans imposer de thème préalable : les axes curatoriaux émergent des projets eux-mêmes.