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Portrait d'Elena Soboleva par Molly Gottschalk
Portrait d'Elena Soboleva par Molly Gottschalk
Bonjour Elena, vous êtes aujourd’hui Spécialiste Art Contemporain chez Artsy. Avant d’entrer dans les détails de votre fonction, pourriez-vous revenir rapidement s’il vous plait sur votre formation et votre parcours professionnel ?
J’ai étudié conjointement l’histoire de l’art et l’économie à l’Université de Toronto. Mon diplôme en poche, j’ai travaillé dans une galerie de Toronto avant de m’envoler pour New York où j’ai collaboré au sein de la Galerie Jack Shainman.
Vous avez débuté votre carrière chez Artsy en tant que coordinatrice galeries il y a maintenant trois ans. Comment votre poste a–t-il évolué avec le succès croissant de Artsy ?
Depuis mon arrivée, Artsy a en effet triplé de taille ! Le site référence maintenant plus de 60 foires d’art.
Aujourd’hui, je travaille davantage avec nos collectionneurs afin de coller au mieux à leurs exigences et à la complexité du marché.
De plus, je m'efforce de développer une stratégie spécifique pour chaque région du monde. Cela passe par la programmation des Artsy’s VIP dans les foires internationales mais aussi par l'organisation d’événements et de ventes aux enchères.
Vous vous occupez également des projets spéciaux au sein de la compagnie. De quoi s'agit-il exactement ?
J’ai par exemple lancé les #ArtsyTakeover series, qui invitent artistes et designers contemporains à ré-inventer l’espace dans le cadre des foires d’art. À titre d’exemple, le projet de Hank Willis Thomas au Armory Show du Printemps dernier a été un si grand succès qu’il a été relayé massivement sur Instagram et par des revues de prestige à l'image de Forbes, VOGUE, Artnews, Instyle ou Vanity Fair.
Depuis 45 ans, un couple de psychiatres, spécialistes du langage, compose une collection d’art conceptuel.
En ouvrant leur collection aux visites privées, en leur domicile de Marseille, ils démontrent que le marché de l’art n’est pas un « shopping » comme les autres. Une belle histoire de partage autour de l’art.
Médecins psychiatres et collectionneurs en duo depuis 45 ans, vous ouvrez les portes de La Fabrique, une ancienne filature marseillaise qui abrite vos œuvres, mais qui est aussi votre lieu de vie. A qui sont destinées ces visites ?
Josée et Marc Gensollen : Depuis nos premières acquisitions, nous concevons notre collection comme un acte de transmission plutôt que de privatisation. C’est pourquoi nous prêtons volontiers les pièces qui nous sont demandées pour des expositions.
Lire la suite >>>Anaïs de Senneville est depuis 2015, en charge de la programmation au sein de la Société des Amis du Musée d’Art moderne de la Ville de Paris.
Pour fidéliser les membres de l’association, distinguer cette dernière de ses nombreuses homologues parisiennes, et séduire les mécènes indispensables à son activité, il lui faut mettre en oeuvre une communication équilibrée.
Le diner annuel reste l’événement le plus visible des sociétés d’amis. Comment distinguer le diner du MAM des autres événements comparables à Paris et dans le monde ?
Anaïs de Senneville : Nous avons créé en 2008 notre premier dîner de gala pour soutenir le musée. Il se tient tous les ans, la veille du vernissage de la FIAC.
Lire la suite >>>Géraldine Bareille et Nicolas Renucci lancent SPRING, une agence d’Art contemporain innovante et engagée. SPRING se veut un modèle inédit qui répond aux mutations du marché de l’art.
SPRING fait son Great Opening avec une exposition collective des premiers artistes accompagnés par l’Agence, le 28 novembre 2019, 7 rue Froissart, 75003 Paris.
François Blanc, fondateur de Communic'art est le conseiller d'Arteïa, logiciel de catalogage ultime pour gérer une collection d’œuvres d’art.
Créé par des collectionneurs d’art pour des collectionneurs d’art, Arteïa prend en compte toutes les questions de gestion des œuvres, de leur documentation et de leur valorisation.
Ainsi, le célèbre éditeur Cahiers d’Art a fait appel à la technologie d’Arteïa pour éditer, sous la marque Raisonline, des catalogues raisonnés numériques, aux données sécurisées par la blockchain.
Arteïa est porteur de nombreux développements qui stimuleront la confiance dans le marché de l’art.
Quels sont les points forts d’Arteïa, logiciel de catalogage ultime pour gérer une collection d’œuvres d’art ?
Lire la suite >>>Par FRANÇOIS BLANC
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