André, JonOne et ZEVS sont les trois artistes ayant collaborés avec Philips pour une série de luminaires.
André, JonOne et ZEVS sont les trois artistes ayant collaborés avec Philips pour une série de luminaires.
Inspirée par le monde du design, la collection Nick-Knack est née de la volonté de Philips d’offrir, à partir d’un luminaire à l’allure épurée, de multiples et surprenantes possibilités d’éclairage et d’esthétisme.
Les designers de Philips ont puisé leur inspiration de l’univers de la danse et de Mondrian, pour créer les luminaires haut de gamme Nick-Knack. Si l’artiste a marqué l’art abstrait par ses lignes droites et ses couleurs primaires, la série Nick-Knack vient s'inscrire dans un environnement résolument minimaliste, créatif et urbain, à la croisée de l’art et du design.
Pour cette nouvelle aventure Nick-Knack, l’équipe de la galerie W a cherché des artistes réputés, très impliqués dans le lien entre l’art et la lumière. Chaque artiste a donc réinterprété Nick-Knack de manière surprenante qui ne laisse pas indifférent. Avec leurs démarches artistiques et leurs vibrations propres, les artistes ont porté avec succès ce challenge et subliment ces pièces uniques pour mettre en lumière leurs oeuvres.
Une fois associés, les Nick-Knack revisités par André, JonOne et ZEVS se révèlent et agissent tels des miroirs aux reflets fascinants, faisant ainsi le lien avec l’oeuvre de chaque artiste. Chacun des éléments se fond, pour ne plus pouvoir se dissocier, tout en se sublimant l’un l’autre.
Découvrez ci-dessous la série originale des lampes Nick Knack en vidéos.
En pleine préparation de l’édition 2021, qui se tiendra du 8 au 11 avril, le directeur d’Art Paris se réjouit d’accueillir plusieurs galeries internationales d’importance. Profitant de l’attraction nouvelle de Paris, Guillaume Piens fait subtilement évoluer le positionnement de l’événement, en valorisant l’image de « foire régionale » tout en renouant avec la pointe avancée de l’art contemporain.
Selon vous, pourquoi Art Paris enregistre-t-elle l’inscription de galeries prestigieuses, qui snobaient votre foire ?
Guillaume Piens : Il y a eu tout d’abord le succès de l’édition de septembre 2020, qualifié d’«insolent » par le Journal des Arts. Nous avons montré qu’il était possible d’organiser une grande foire par temps de pandémie, en tenant contre vents et marées. Nous récoltons les fruits de cette ténacité et ...
Lire la suite >>>Son exposition personnelle au Centre Matmut pour les arts, en Normandie, a temporairement fermé ses portes en raison de la pandémie. Qu’importe, l’artiste qui se joue de la photo entretient un lien de complicité avec ses followers, via son compte Instagram. Une visibilité autonome, construite avec méthode, qui lui servira pour trouver une galerie.
Votre premier post sur Instagram date du 30 octobre 2015. Comment avez-vous deviné l’importance de ce réseau social, dans le monde de l’art ?
Sabine Pigalle : Je n’ai rien deviné du tout ! A l’époque, j’alimentais ma page Facebook, ouverte en 2008 et je ne voyais pas l’intérêt de migrer vers un autre réseau social.
Avant d’en prendre conscience, j’ai observé, j’ai tâtonné. Mes premiers posts parlaient surtout de la Normandie où je vis, de mes amis et des ...
Lire la suite >>>Pour sa première action de mécénat, la collectionneuse Sophie Javary a choisi une œuvre d’Agnès Thurnauer. En permettant l’installation des "Matrices/Chromatiques" au musée de l’Orangerie, pour dix ans, elle offre une visibilité à une femme artiste et, au public, une réflexion contemporaine sur le langage.
En pleine crise sanitaire et économique, vous venez de financer une importante pièce d’Agnès Thurnauer pour le musée de l’Orangerie. Quel déclic a fait, de la collectionneuse que vous étiez, une mécène ?
Sophie Javary : Le goût de l’art contemporain m’est venue, adolescente, lors de stages de poterie au chateau de Ratilly. Grâce aux époux Pierlot, qui organisaient des expositions dans ce château bourguignon du 13ème siècle, j’ai découvert Genevieve Asse, Viera da silva. Calder. Arpad Szenes.
Lire la suite >>>Depuis 20 ans, les œuvres de Philippe Pastor affichent, comme une obsession, la responsabilité individuelle de chaque homme dans la destruction de la nature. Série après série, ses toiles, sculptures et installations empruntent au vivant pour appeler à la prise de conscience.
Son esthétique est un outil au service d’une cause universelle. Paradoxalement, le sentiment d’intemporalité créé par l’artiste monégasque est un signal d’urgence, un appel à l’action.
Vous êtes autodidacte et avez commencé votre pratique artistique sur le tard. Quel est l’élément marquant qui vous a poussé à peindre ?
PHILIPPE PASTOR : Un jour, j’ai décidé de changer mes habitudes et mes fréquentations, de vivre dans d’autres lieux pour mener une autre vie. Alors la peinture est venue, d’elle-même.
Lire la suite >>>Par FRANÇOIS BLANC
Toutes ses contributions >>>
Par RAPHAËL TURCAT
Toutes ses contributions >>>