A l’occasion de 40e Foire internationale d’art contemporain, Libération a transformé ses pages en exposition temporaire pour y accrocher quelques pièces qui devraient permettre d'illustrer l'actualité.
A l’occasion de 40e Foire internationale d’art contemporain, Libération a transformé ses pages en exposition temporaire pour y accrocher quelques pièces qui devraient permettre d'illustrer l'actualité.
En ce jeudi 24 octobre, jour d'ouverture de la FIAC à Paris, NonPrintingCharacter invite de nombreux curateurs à illustrer avec des oeuvres d'art contemporain des articles du quotidien national français Libération.
NonPrintingCharacter (NPC) s’efforce de sortir l’art contemporain des contextes d’exposition ou de critique pour le faire résonner dans le contexte plus vaste et plus accessible de l’actualité.
Saisissant à la lettre la fameuse maxime de Robert Filiou « L’art est ce qui rend la vie plus intéressante que l’art », NPC fait surgir dans le flux incessant de l’information politique, sociale, économique, sportive, scientifique ou culturelle, des œuvres et des artistes.
Lancé sur Twitter par Alexis Jakubowicz et Jean-Brice Moutout, NPC souhaite montrer à ceux qui s’en tiennent éloignés, par pudeur ou défiance, que l’art contemporain n’est jamais déconnecté de la réalité, mais au contraire, en prise permanente avec la vie et les idées.
Présent sur ARTE Creative chaque semaine depuis mai 2013, NonPrintingCharacter s’invite à l’occasion de la FIAC dans le journal Libération. Près de vingt curateurs français et internationaux ont été invité à choisir, en fonction de leurs propres univers et sensibilités, des œuvres pour illustrer les articles du journal. Ainsi l’art contemporain plus que jamais offre un point de vue sur la marche du monde.
Découvrez ci-dessous la vidéo réalisée pour l'occasion.
Comment jugez-vous la communication globale du gouvernement actuel dans le domaine culturel ?
Trois ministres et trois styles se sont succédé à la Rue de Valois depuis 2017, et aucun n’est parvenu à relever le défi de faire oublier Jack Lang. Cette absence d’incarnation ne tient pas aux personnes, mais au fait que le monde de la culture a pu être abordé comme une composante économique et sociale parmi d’autres, sans valoriser son caractère essentiel.
Il a manqué, en amont, d’une pensée forte et soutenue sur la démocratisation indispensable de l’accès aux lieux de culture, musées, bibliothèques, ou en faveur d’une mobilisation de l’Éducation nationale…
Lire la suite >>>Percutante, distrayante, argumentée, son histoire de l’Art exploite le meilleur d’un réseau social qui répond à des règles de communication spécifiques. Trois fois par mois, cette jeune passionnée d’art raconte l’histoire d’une artiste femme, sur son compte Instagram suivi par près de 27 000 abonnés. Elle nous dit comment.
Afin de revaloriser le "matrimoine artistique" et rendre visibles les femmes artistes, pourquoi avez-vous choisi l’outil Instagram, plutôt que le blog ou le podcast ?
Margaux Brugvin : J’ai choisi d’investir Instagram car s’y trouvaient déjà les personnes potentiellement intéressées par mon contenu. Si j'avais créé un blog ou un podcast, j'aurais dû en faire la publicité sur Instagram et convaincre les gens de quitter ce réseau social pour migrer vers un autre média.
Lire la suite >>>La BD accède à l’âge adulte ! Bienvenue à l’école, consacrée par les musées et reçue à l’Académie Française… A rebours de l’agitation provoquée par les auteurs, en quête légitime de statut, le directeur général de la Cité Internationale de la Bande Dessinée et de l'Image insiste sur le chemin accompli.
La cote des planches anciennes monte au ciel, mais les originaux des artistes populaires d’aujourd’hui sont loin d’être au niveau des artistes contemporains. Est-ce juste une question de temps ?
Pierre Lungheretti : Depuis les années 60, la BD a muri, sociologiquement et institutionnellement. Ses auteurs ont conquis l’univers des adultes et font l’objet d’analyses littéraires, esthétiques qui s’intègre dans l’histoire de l’Art.
Lire la suite >>>Collectionneur depuis 35 ans, Claude Bonnin a pris cette année la présidence de l'Association pour la diffusion internationale de l'art français (ADIAF). Pour cet ancien responsable de Saint-Gobain, éclectique dans ses goûts, l’animation d’une communauté d’adhérents engagés permettra d’amplifier l’impact du prix Marcel-Duchamp.
Votre accession à la direction de l’ADIAF marque une étape importante dans votre parcours de collectionneur. Vous-même, comment envisagez-vous le nouveau chapitre qui s’ouvre pour l’ADIAF sans Gilles Fuchs, son fondateur ?
Claude Bonnin : Le projet de l’ADIAF, fondé en 1994, demeure pertinent : faire connaître et apprécier les artistes français à l’international.
Le prix Marcel-Duchamp, qui fête ses 20 ans, est bien connu par toute une génération de collectionneurs, de marchands ...
Lire la suite >>>Par FRANÇOIS BLANC
Toutes ses contributions >>>
Par RAPHAËL TURCAT
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