En 2013, le ministère de la Culture et de la Communication célèbre les dix ans de la loi du 1er août 2003 relative au mécénat, aux associations et aux fondations.
En 2013, le ministère de la Culture et de la Communication célèbre les dix ans de la loi du 1er août 2003 relative au mécénat, aux associations et aux fondations.
Les « Entretiens du mécénat » se sont déroulés les 5 et 6 novembre, au Grand Palais à Paris. Organisés par la mission du mécénat du ministère, dans le cadre des 10 ans de la « loi Aillagon » du 1er août 2003 relative au mécénat, aux associations et aux fondations les Entretiens ont permis de témoigner de l'initiative, de la richesse et de la diversité des actions encouragées par le dispositif de 2003.
Les objectifs de ces entretiens étaient de mesurer l'impact de la législation tant sur le mécénat culturel des entreprises que sur l'évolution des fondations, d'observer l'émergence du mécénat populaire et du financement participatif sur Internet ainsi que les nouvelles formes de collaboration entre le secteur public et la sphère privée favorisées par la loi de 2003, d'ouvrir enfin de nouvelles perspectives pour le développement du mécénat culturel en France.
Le ministère de la Culture et de la Communication se félicite du succès de ces rencontres. Un public nombreux, principalement composé de professionnels du mécénat et de la culture (plus de 470 personnes pour chacune des quatre demies journées) est venu assister aux huit tables rondes réunissant 46 représentants d'entreprises, de fondations, des pouvoirs publics et de la presse, ainsi qu'à l'intervention de Jean-Jacques Aillagon en clôture de la première journée.
Lors de son discours d'ouverture (à voir plus bas), la ministre a confirmé que les dispositions de la loi du 1er août 2003 ne seraient plus remises en cause et qu'une évolution était toujours envisagée pour donner plus de marge au mécénat des petites et moyennes entreprises. Elle a également annoncé la publication dans les prochaines semaines d'une "charte du mécénat culturel" visant à favoriser une application de la législation conforme à ses principes fondamentaux.
Retrouvez l'integralité des entretiens filmés ici.
Discours d'ouverture des Entretiens du Mécénat 2013
Comment jugez-vous la communication globale du gouvernement actuel dans le domaine culturel ?
Trois ministres et trois styles se sont succédé à la Rue de Valois depuis 2017, et aucun n’est parvenu à relever le défi de faire oublier Jack Lang. Cette absence d’incarnation ne tient pas aux personnes, mais au fait que le monde de la culture a pu être abordé comme une composante économique et sociale parmi d’autres, sans valoriser son caractère essentiel.
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Lire la suite >>>Percutante, distrayante, argumentée, son histoire de l’Art exploite le meilleur d’un réseau social qui répond à des règles de communication spécifiques. Trois fois par mois, cette jeune passionnée d’art raconte l’histoire d’une artiste femme, sur son compte Instagram suivi par près de 27 000 abonnés. Elle nous dit comment.
Afin de revaloriser le "matrimoine artistique" et rendre visibles les femmes artistes, pourquoi avez-vous choisi l’outil Instagram, plutôt que le blog ou le podcast ?
Margaux Brugvin : J’ai choisi d’investir Instagram car s’y trouvaient déjà les personnes potentiellement intéressées par mon contenu. Si j'avais créé un blog ou un podcast, j'aurais dû en faire la publicité sur Instagram et convaincre les gens de quitter ce réseau social pour migrer vers un autre média.
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Votre accession à la direction de l’ADIAF marque une étape importante dans votre parcours de collectionneur. Vous-même, comment envisagez-vous le nouveau chapitre qui s’ouvre pour l’ADIAF sans Gilles Fuchs, son fondateur ?
Claude Bonnin : Le projet de l’ADIAF, fondé en 1994, demeure pertinent : faire connaître et apprécier les artistes français à l’international.
Le prix Marcel-Duchamp, qui fête ses 20 ans, est bien connu par toute une génération de collectionneurs, de marchands ...
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