Mineral Lodge, un chalet d'architecte au coeur des Alpes, inaugure sa Pop Up Art Gallery par l’exposition d’une sélection de meubles de designers du XXe siècle provenant des collections de Madalian Paillard.
Mineral Lodge, un chalet d'architecte au coeur des Alpes, inaugure sa Pop Up Art Gallery par l’exposition d’une sélection de meubles de designers du XXe siècle provenant des collections de Madalian Paillard.
Mineral Lodge, une adresse d’exception en Haute Tarentaise, est un chalet d’hôtes situé à Villaroger, entre Bourg-Saint-Maurice et Val d’Isère, dans le hameau du Pré, à 1 200 mètres d’altitude.
Mineral Lodge est une adresse secrète qui se partage avec parcimonie. Du 14 décembre 2013 au 30 janvier 2014, Mineral Lodge se transforme en un lieu d’exposition en présentant une sélection de meubles d’architectes du XXe siècle en provenance des collections de Jean-Marc Mandalian et Jean-François Paillard qui se consacrent à la réunion de pièces d’art décoratif du siècle dernier.
Construit dans les murs d’une ancienne ferme vernaculaire, Mineral Lodge fait de verre et d’acier est une remarquable interprétation de l’architecture locale adaptée aux enjeux écologiques contemporains. Le choix du design et plus particulièrement de Charlotte Perriand et ses contemporains n’a rien de fortuit de la part de son prorpiétaire Alain Emprin.
La réinterprétation du patrimoine architectural alpin et sa parfaite intégration dans le paysage fait écho au travail de Charlotte Perriand notamment dans sa conception de la station des Arcs qui n’a pas pris une ride.
Véritable synthèse des préceptes d’architecture et d’aménagement d’intérieur prônés par Charlotte Perriand, la station des Arcs reste un modèle d’habitat et une réussite d’intégration dans le paysage.
Des pièces signées Perriand, Breuer, Bucquet Avec les pièces de collection signées Charlotte Perriand, Mandalian Paillard présente également des réalisations de Marcel Breuer, Edouard-Wilfried Bucquet, toutes exposées à Hyères l’été dernier à l’occasion du Festival Design Parade 8 de la Villa Noailles. Une belle occasion d’allier les sports d’hiver et les belles choses.
Après 5 ans passés chez le promoteur immobilier Emerige à développer les projets artistiques aux cotés de Laurent Dumas, Angélique Aubert rejoint le cabinet de conseil en recrutement m-O conseil, afin de développer un département dédié au recrutement dans le monde de la culture et lance une activité de conseil en projets culturels. Questions sur un parcours passion...
Longtemps vous avez mené des projets au sein de grandes entreprises. Quelle envie vous pousse à proposer aujourd’hui deux offres, l’une de recrutement culturel, l’autre de conseil pour collectionneur, mais à votre compte ?
Angélique Aubert : Mon fil rouge, c’est la diffusion de l’art. Aujourd’hui, un amateur d’art qui a envie d’acquérir quelques œuvres ne sait pas forcément comment s’y prendre. Pour entrer dans l’univers des galeries et des artistes contemporains, il faut un passeur.
Lire la suite >>>François Blanc fondateur de Communic'Art – devant "Marcel et Salvador", 2006, Jean-Michel Alberola
Journaliste art au Monde, Harry Bellet décrit d’une plume ironique et tendre le milieu de l’art contemporain. Il nous livre içi son expérience des rapports entre journaliste et communicants. Instructif autant qu’avisé.
Pour Art 360 by Communic’Art, le journaliste et écrivain explique comment la presse en général et le Monde en particulier tentent de rendre compte de la mondialisation du marché, en faisant bon usage des ressources de la communication.
A la différence de beaucoup de journalistes, vous n’affichez pas de mépris pour les gens de communication. Pourquoi cette mansuétude ?
Harry Bellet : D’abord parce que c’est un métier ingrat, il faut avoir vécu un voyage de presse pour s’en rendre compte. Balader des touristes, ce n’est pas drôle, des touristes français encore moins, et si c ...
Lire la suite >>>Sebastian Sachetti, chef du projet Pass Culture
Le processus d’élaboration du Pass Culture s’est voulu collaboratif sur un mode Start up d’Etat. Sébastian Sachetti, qui a conçu et organisé cette co-production, explique comment l’Etat a su mobiliser les futurs jeunes bénéficiaires et les professionnels de la culture. Et inventer les formes d’un nouveau service accessible pour 800 000 jeunes à partir de leurs 18 ans.
Au terme de quel parcours avez-vous été désigné pour imaginer les contours du Pass Culture ?
Sebastian Sachetti : Depuis la sortie de l’ENA, où j’étais inscrit comme élève étranger, j’ai alterné des postes dans le public et le privé, toujours dans le domaine culturel et avec une approche financière. Dans l'audiovisuel, notamment, au Brésil et en France, j’ai mené des négociations pour la production et la distribution de films. ...
Lire la suite >>>Par FRANÇOIS BLANC
Toutes ses contributions >>>
Par RAPHAËL TURCAT
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