KPN donne vie au Musée Rijksmuseum d'Amsterdam grâce à l'affichage dynamique
KPN donne vie au Musée Rijksmuseum d'Amsterdam grâce à l'affichage dynamique
Pour fêter la première année de sa réouverture, le musée national des Pays-Bas, le Rijksmuseum, a exposé des versions animées de sa collection de célèbres chefs d’œuvres de la peinture flamande dans les métros d’Amsterdam et Rotterdam.
Durant une semaine, du 10 au 19 avril 2014, sur 86 écrans d’affichage numérique installés dans 16 stations de métro, les passants ont donc pu découvrir des versions animées de célèbres toiles. La laitière de Vermeer coulant son lait ? Une autre manière de redonner vie à cette œuvre emblématique.
Pour rendre l’expérience interactive, les utilisateurs pouvaient même s’intégrer à l’un des tableaux avec une caméra vidéo intégrée à l’affichage, permettant de prendre un selfie et de le partager via les médias sociaux.
Au final, le Rijksmuseum a atteint une audience de tout âge, profil sociologique et sexe, associant son nom à une expérience digitale novatrice et ludique. Les retours de la campagne, fournis en fin d’année dernière par la société AOPEN – fournisseur des équipements numériques pour le mécène KPN – a enregistré 1.354.445 impressions !
Outre un succès populaire, la campagne interactive a annoncé le chiffre de 28.513 personnes qui se sont arrêtées devant les écrans avec :
+ 5.740 #Rijksselfies pris
+ 1.497 #Rijksselfies uploadés sur la page Facebook de KPN - puis partagés via les réseaux sociaux dans la semaine (référence : une campagne similaire a une moyenne d'environ 1000 uploads en deux semaines, selon CS Digital Media)
KPN, mécène principal du musée a profité de la campagne pour faire connaître son partenariat fort avec le plus grand musée des Pays-Bas. Lors de la première semaine, la page de garde kpn.com/Rijksmuseum a enregistré plus de 25.000 visiteurs uniques.
Dans le même temps, des bannières en ligne ont été déployées (téléchargeables depuis les PC de bureaux, les tablettes et les smartphones) pour générer du trafic sur la galerie d’art interactive. Ces bannières ont été chargées sur des sites comme 9292ov.nl et nu.nl, pour cibler spécifiquement les internautes cherchant des conseils de voyages vers et depuis Amsterdam et/ou Rotterdam.
L’expérience, qui a reçu un accueil enthousiaste du public a rejailli positivement sur l’image du Rijksmuseum et de son mécène historique KPN, tout en profitant à l’attractivité des deux grandes métropoles néerlandaises.
François Boutard
Sources :
http://www.aopen.com/france/rijksmuseum
http://www.club-innovation-culture.fr/chefs-doeuvres-rijksmuseum-saniment-metro-retour-sur-campagne-inedite/
Après 5 ans passés chez le promoteur immobilier Emerige à développer les projets artistiques aux cotés de Laurent Dumas, Angélique Aubert rejoint le cabinet de conseil en recrutement m-O conseil, afin de développer un département dédié au recrutement dans le monde de la culture et lance une activité de conseil en projets culturels. Questions sur un parcours passion...
Longtemps vous avez mené des projets au sein de grandes entreprises. Quelle envie vous pousse à proposer aujourd’hui deux offres, l’une de recrutement culturel, l’autre de conseil pour collectionneur, mais à votre compte ?
Angélique Aubert : Mon fil rouge, c’est la diffusion de l’art. Aujourd’hui, un amateur d’art qui a envie d’acquérir quelques œuvres ne sait pas forcément comment s’y prendre. Pour entrer dans l’univers des galeries et des artistes contemporains, il faut un passeur.
Lire la suite >>>François Blanc fondateur de Communic'Art – devant "Marcel et Salvador", 2006, Jean-Michel Alberola
Journaliste art au Monde, Harry Bellet décrit d’une plume ironique et tendre le milieu de l’art contemporain. Il nous livre içi son expérience des rapports entre journaliste et communicants. Instructif autant qu’avisé.
Pour Art 360 by Communic’Art, le journaliste et écrivain explique comment la presse en général et le Monde en particulier tentent de rendre compte de la mondialisation du marché, en faisant bon usage des ressources de la communication.
A la différence de beaucoup de journalistes, vous n’affichez pas de mépris pour les gens de communication. Pourquoi cette mansuétude ?
Harry Bellet : D’abord parce que c’est un métier ingrat, il faut avoir vécu un voyage de presse pour s’en rendre compte. Balader des touristes, ce n’est pas drôle, des touristes français encore moins, et si c ...
Lire la suite >>>Sebastian Sachetti, chef du projet Pass Culture
Le processus d’élaboration du Pass Culture s’est voulu collaboratif sur un mode Start up d’Etat. Sébastian Sachetti, qui a conçu et organisé cette co-production, explique comment l’Etat a su mobiliser les futurs jeunes bénéficiaires et les professionnels de la culture. Et inventer les formes d’un nouveau service accessible pour 800 000 jeunes à partir de leurs 18 ans.
Au terme de quel parcours avez-vous été désigné pour imaginer les contours du Pass Culture ?
Sebastian Sachetti : Depuis la sortie de l’ENA, où j’étais inscrit comme élève étranger, j’ai alterné des postes dans le public et le privé, toujours dans le domaine culturel et avec une approche financière. Dans l'audiovisuel, notamment, au Brésil et en France, j’ai mené des négociations pour la production et la distribution de films. ...
Lire la suite >>>Par FRANÇOIS BLANC
Toutes ses contributions >>>
Par RAPHAËL TURCAT
Toutes ses contributions >>>