L'Institut National des Métiers d'Art recherche des mécènes pour soutenir la prochaine édition nationale des JEMA qui se tiendra les 4, 5 et 6 avril 2014, partout en France et en Europe.
L'Institut National des Métiers d'Art recherche des mécènes pour soutenir la prochaine édition nationale des JEMA qui se tiendra les 4, 5 et 6 avril 2014, partout en France et en Europe.
L'Institut National des Métiers d'Art (INMA) recherche des mécènes pour soutenir la prochaine édition nationale des JEMA qui se tiendra les 4, 5 et 6 avril 2014, partout en France et en Europe.
Les métiers d'art incarnent des valeurs fortes, au travers de leur richesse et de leur diversité. Ils représentent l'excellence française et font partie intégrante du patrimoine immatériel de la culture européenne reconnu par l'UNESCO. Les métiers d'art ont aussi un poids économique considérable et ce secteur, à forte valeur ajoutée, dispose d'importants potentiels à l'export.
Avec une contribution estimée à plus de 7 millions d'emplois créés dans l'UE, ces domaines innovants se développent rapidement et pourraient permettre de créer davantage d'emplois, surtout pour les jeunes ou les adultes en reconversion.Ces métiers d'avenir, sont une ressource en termes d'attractivité culturelle et touristique et de développement durable. Ils participent à créer une dynamique économique et territoriale ainsi qu'un lien social de proximité.
L'Institut National des Métiers d'Art, association reconnue d'utilité publique et d'intérêt général et placée sous la triple tutelle de l'État, participe à préparer l'avenir de ce secteur. C'est pourquoi, les Journées Européennes ont été créées.
Soutenir les Journées des Métiers d'Art permet de marquer un engagement en faveur d’une cause d’intérêt général. Cet engagement doit permettre de valoriser les professionnels des métiers d’art, de sensibiliser et de faire découvrir les métiers d'art auprès de tous les publics et ainsi favoriser l'accès à l'emploi ou à la formation en insistant sur la dimension, la valeur et l’importance de ces métiers.
Aussi, ce soutien permet de promouvoir les territoires de proximité et de valoriser l’image d’une entreprise ainsi que l’excellence française.
Après 5 ans passés chez le promoteur immobilier Emerige à développer les projets artistiques aux cotés de Laurent Dumas, Angélique Aubert rejoint le cabinet de conseil en recrutement m-O conseil, afin de développer un département dédié au recrutement dans le monde de la culture et lance une activité de conseil en projets culturels. Questions sur un parcours passion...
Longtemps vous avez mené des projets au sein de grandes entreprises. Quelle envie vous pousse à proposer aujourd’hui deux offres, l’une de recrutement culturel, l’autre de conseil pour collectionneur, mais à votre compte ?
Angélique Aubert : Mon fil rouge, c’est la diffusion de l’art. Aujourd’hui, un amateur d’art qui a envie d’acquérir quelques œuvres ne sait pas forcément comment s’y prendre. Pour entrer dans l’univers des galeries et des artistes contemporains, il faut un passeur.
Lire la suite >>>François Blanc fondateur de Communic'Art – devant "Marcel et Salvador", 2006, Jean-Michel Alberola
Journaliste art au Monde, Harry Bellet décrit d’une plume ironique et tendre le milieu de l’art contemporain. Il nous livre içi son expérience des rapports entre journaliste et communicants. Instructif autant qu’avisé.
Pour Art 360 by Communic’Art, le journaliste et écrivain explique comment la presse en général et le Monde en particulier tentent de rendre compte de la mondialisation du marché, en faisant bon usage des ressources de la communication.
A la différence de beaucoup de journalistes, vous n’affichez pas de mépris pour les gens de communication. Pourquoi cette mansuétude ?
Harry Bellet : D’abord parce que c’est un métier ingrat, il faut avoir vécu un voyage de presse pour s’en rendre compte. Balader des touristes, ce n’est pas drôle, des touristes français encore moins, et si c ...
Lire la suite >>>Sebastian Sachetti, chef du projet Pass Culture
Le processus d’élaboration du Pass Culture s’est voulu collaboratif sur un mode Start up d’Etat. Sébastian Sachetti, qui a conçu et organisé cette co-production, explique comment l’Etat a su mobiliser les futurs jeunes bénéficiaires et les professionnels de la culture. Et inventer les formes d’un nouveau service accessible pour 800 000 jeunes à partir de leurs 18 ans.
Au terme de quel parcours avez-vous été désigné pour imaginer les contours du Pass Culture ?
Sebastian Sachetti : Depuis la sortie de l’ENA, où j’étais inscrit comme élève étranger, j’ai alterné des postes dans le public et le privé, toujours dans le domaine culturel et avec une approche financière. Dans l'audiovisuel, notamment, au Brésil et en France, j’ai mené des négociations pour la production et la distribution de films. ...
Lire la suite >>>Par FRANÇOIS BLANC
Toutes ses contributions >>>
Par RAPHAËL TURCAT
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