AU TEMPS DU CORONAVIRUS, COMMUNIC'ART DONNE LA PAROLE À SES CLIENTS.
En cette période de confinement, quelles sont les actions menées par la Fondation Henri Cartier-Bresson par vous et votre équipe pour poursuivre vos activités ?
François Hébel : Une légère présence sur les réseaux sociaux, sans submerger les lecteurs. Nous utilisons les « Perles des archives » et quelques documents intéressants pour mieux faire connaître Henri Cartier-Bresson avec des textes courts.
En quoi est-ce important pour vous de maintenir le lien avec vos communautés et vos publics ?
FH : C’est le rôle pédagogique de la Fondation, une de ses principales raisons d’être autour de l’œuvre d’Henri Cartier-Bresson et de Martine Franck.
Comment considérez-vous le rôle de la culture et de l’art dans ce contexte de crise sanitaire, de confinement ?
Cette période est évidemment propice à une approche « intime » de la culture, du livre, du film, etc., mais évidemment pas à la rencontre « physique » de l’œuvre ou du spectacle. En revanche, la créativité foisonnante sur le net a l’avantage d’élever le niveau des outils de diffusion virtuels.
Quelles leçons tirez-vous de cette expérience inédite et quel impact aura-t-elle selon vous dans le secteur de la culture, et de la photographie plus particulièrement vous concernant ?
FH : Espérons que le manque crée l’envie, et que le point de vue des artistes permette une meilleure compréhension du monde pour les décideurs et les citoyens.
Quels sont les projets de la Fondation après le confinement ?
FH : Prolonger l’exposition de Marie Bovo, car il n’y a rien de plus triste pour une artiste de préparer une exposition et de ne pas rencontrer son public. Puis de décaler les autres programmes auxquels nous travaillons tant pour la rue des Archives, à Paris, que pour nos nombreux programmes dans d’autres institutions françaises et étrangères.
Carl Van Eiszner, éditions Place des Victoires
Antoine Godbert, directeur général de l'Abbaye Royale de Fontevraud
Guillaume Piens, commissaire général d’Art Paris Art Fair
En avril, pour ses 20 ans, Art Paris Art Fair a battu un record de fréquentation et dépassé ses objectifs. Pour s’imposer comme un rendez-vous majeur de l’art contemporain, la petite équipe d’organisation compte sur l’apport d’une vingtaine d’étudiants de l’IESA.
Le Blog Art 360° a demandé à Guillaume Piens, le commissaire général, d’exposer la mécanique d’un partenariat équitable. Entretien avec Guillaume Piens, commissaire général d’Art Paris Art Fair
Art Paris Art Fair au Grand Palais, c’est 142 galeries et 54 537 visiteurs. Un tel événement existerait-il sans le renfort d’une vingtaine d’étudiants de IESA ?
Lire la suite >>>Par FRANÇOIS BLANC
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Par RAPHAËL TURCAT
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