Image de Anna Schuster "Büßende Magdalena" par Nicolas Regnier au Martin-von-Wagner-Museum en Allemagne.
Image de Anna Schuster "Büßende Magdalena" par Nicolas Regnier au Martin-von-Wagner-Museum en Allemagne.
Le cliché égocentré a envahi les réseaux sociaux.
Les institutions culturelles, notamment les musées, n’échappent pas à cette mode. Sur les réseaux sociaux administrés par les musées tels Facebook, Twitter ou Instagram, fleurissent les clichés où les visiteurs se mettent en scène avec, en arrière-plan, une œuvre artistique.
Beaucoup de musées ont décidé d’en faire un outil marketing redoutable. En effet, quoi de plus efficace comme marketing viral que la diffusion multi-réseaux de photos d’inconnus prises devant des œuvres d’art ?
Le 21 janvier dernier a ainsi eu lieu la seconde "Journée Internationale du Selfie au Musée" - #Museumselfie day.
Le Metropolitan Museum of Art a ainsi enregistré sur ses réseaux sociaux près de 700 publications avec le hashtag #MuseumSelfie. Ce qui lui a permis de repérer les sujets les plus conversationnels ainsi que les influenceurs numériques incontournables.
Pour autant, ce phénomène interroge la manière dont le jeune visiteur d’un musée, par exemple, expérimente l’art...
L’écrivain et critique Jason Farago, dans une tribune sur la page culture de la BBC, pose cette question et d’autres. Ne faut-il pas repenser les parcours d’exposition lorsque les gardiens passent plus de temps à chasser les photographes amateurs plutôt que de surveiller les œuvres ?
Face à ce phénomène, les artistes et les curateurs ne doivent-ils pas aussi réfléchir à la façon dont les visiteurs s’approprient une œuvre avec le selfie ?
Le nier, selon Jason Farago, nous conduirait à subir d’autres clichés médiocres, avec, en toile de fond, des œuvres d’art peu avantagées...
Pour en savoir plus :
Museums Ask: What’s the ROI of #MuseumSelfie Day? à lire sur le site de Crimson Hexagon
The scourge of the selfie à lire sur le site de la BBC
AU TEMPS DU CORONAVIRUS, COMMUNIC'ART DONNE LA PAROLE À SES CLIENTS.
La 65e édition du Salon de Montrouge est reportée à 2021. Un moment difficile ?
Ami Barak : Comme beaucoup d’autres acteurs du monde de l’art, nous sommes fortement impactés par la crise que nous traversons. À cause des incertitudes concernant la reprise des activités, nous avons été contraints de reporter au printemps 2021 la 65e édition du Salon de Montrouge, qui devait avoir lieu du 25 avril au 20 mai 2019.
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En cette période de confinement, quelles sont les actions de la Fondation pour poursuivre et accompagner les expositions « Prête-moi Ton Rêve » ?
FK : Tout d’abord je voudrais souligner que l’inauguration de la troisième étape de « Prête-moi Ton Rêve » à Abidjan a pu se faire quelques jours avant que l’OMS ne considère le Covid-19 comme une pandémie mondiale. Les états ont chacun pris les décisions qui s’imposaient et le confinement a été généralisé entraînant la fermeture des frontières et des musées dont celui d’Adama Toungara qui accueille l’exposition. L’exposition restera un mois, une fois que le confinement sera levé en Côte d’Ivoire.
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En cette période de confinement, quelles sont les actions que vous menez pour le soutien de Quai 36 aux artistes d’art urbain ?
Jonas Ramuz : Ce qui est très encourageant, c’est que nous ressentons un profond enthousiasme de la part de nos talents et partenaires avec qui nous échangeons régulièrement. La période est évidemment très dure, mais elle ne nous empêche pas de continuer à travailler à la conception de futurs projets. Nous travaillons donc sur la partie créative et technique et avons fait en sorte d’assurer autant que faire se peut la logistique d’opérations qui auraient dû avoir lieu et qui ont été décalées du fait de la crise sanitaire actuelle.
En quoi est-ce important pour vous de maintenir le lien avec vos ...
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En cette période de confinement, quelles sont les actions que vous menez pour l’édition 2020 du salon Galeristes ?
Stéphane Corréard : J’ai créé le salon Galeristes pour répondre aux difficultés récurrentes auxquelles sont confrontées les galeries « artisanales » pour rencontrer de nouveaux collectionneurs, et les fidéliser. Inutile de dire que ces difficultés sont et seront démultipliées par la crise qui a commencé ! Notre mission est donc plus importante que jamais.
Lire la suite >>>Par FRANÇOIS BLANC
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Par RAPHAËL TURCAT
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